Les autres sont votre miroir. Excluons tout ce qui est du domaine de l'apparence physique(uniquement pour cette première partie de réflexion), le comportement des autres envers vous est le reflet de ce qu'ils pensent de vous. Ainsi, ils peuvent vous influencer dans des choix à faire(même si souvent, implicitement vous conservez l'avis des personnes qui ont une pensée proche de la votre)et en ce sens sont une partie de vous. Ce que vous êtes réside en partie dans les autres, la perceptions qu'ils ont de vous complète celle que vous avez de vous-même.Vous pouvez attacher ou non de l'importance aux visions exterieures(soit vous vous regardez dans le miroir, soit vous passez devant sans préter attention à l'image qu'il vous renvoit, soit vous n'en avez pas...). Enormément de personnes éprouvent un besoin plus ou moins important à se construire à l'aide de l'avis des autres (ne pas confondre l'influence de l'avis extèrieur avec l'aspect constructif du contact)ils y trouvent un aspect rassurant et ont le sentiment de plaire (satisfaction de l'ego très importante dans la population humaine).
La méthode autobiographique permet de vous placer vous-même en tant qu'"autre".En écrivant votre passé, vous jugez celui que vous avez été en tant que protagoniste futur. Si cette méthode est employée dans un laps de temps très court après le vécu, alors vous jugez votre "présent", comme pour vous satisfaire en tant que plus fervent admirateur de vous. Cette image de vous, ce plaisir que vous ressentez à être apprécié lors de vos différentes intéractions avec les autres (amour, amitié...) se trouve être un désir de se plaire à soi-même par l'intermédiare des autres.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
2 commentaires:
Ein freilich interessanter Artikel, den Sie da geschrieben haben. Ich denke jedoch, das empirische Faktum lässt sich nicht ausschliessen, denn alles was andere an uns wahrnehmen, was letztlich konstitutiv dafür ist, was dieselben über uns denken, hängt von dem ab, was sich empirisch wahrnehmbar zeigt. Ohne Sinne, die eine Aussenwelt perzeptorisch erschliessen, kann weder Bewusstsein, noch Identität erwachsen.
Automatically translated text (from german):
Un article certainement intéressant que vous avez écrit là. Je pense toutefois, le fait empirique ne me fais pas exclure, car tout ce que l'autre dépend à nous percevoir, ce qui est en fin de compte constitif de ce que les mêmes pensent sur nous, de ce qui paraît empiriquement perceptible. Sans les sens qui ouvrent perceptorique un monde extérieur, ni la conscience, ni l'identité ne peuvent surgir.
la traduction est un peu pourrie donc s'il avait possibilité ce serait pas mal de réagir en français (ou en anglais si vous voulez).
Il peut être interressant de connaître l'avis des autres mais s'y conformer pour plaire n'est pas forcément constructif.Se construire en tenant moins compte de l'extèrieur fait partie d'une personnalité.Une vision d'ensemlble des pensées humaines reste néanmoins une très bonne matière de réflexion et peut aider à l'anticipation.
Enregistrer un commentaire